À la femme qui m’a donné la vie, j’aimerais dire ces mots :
Tu me manqueras toujours !
Il y a quelques jours, j’ai vu un post qui disait : « Ne pas connaître ma première mère n’est pas la cause fondamentale de mon trauma. Mais c’est l’avoir connue qui en est le fondement. »
Et, c’est ça !
C’est parce que je me souviens de toi, que j’ai vécu en toi, que nous avons cohabité dans le même corps, que c’est aussi dure.
C’est parce que pendant les neuf premiers mois de moins existence j’ai appris à te connaître, ta voix, ton odeur.
Tu vis toujours dans mon cœur et mon esprit .
Tu n’as pas été effacé, tu n’as pas disparu comme le prétend la loi.
Tu restes toujours ma mère même si j’en ai acquis une deuxième.
Tu es ma première mère, l’originelle.
À la femme qui m’a donné la vie,
Tu me manques infiniment !